Le 1er décembre 2023, Théo Courcoux, un jeune homme de 21 ans, disparaissait dans la nuit à Saint-Nazaire (Loire-Atlantique). Ce jour-là, il sortait de son travail chez Airbus sans avoir jamais eu l’occasion de rentrer chez lui.
Sa voiture a été retrouvée, fermée et vide, près de la rivière du Brivet, mais où est passé Théo ? Ce mystère intrigue les autorités et émeut sa famille, qui ne cesse de lancer des appels à témoins.
Un an après, le père de Théo s’est exprimé dans la presse locale. “Quelqu’un sait forcément quelque chose”, insiste-t-il, appelant les éventuels témoins à se manifester. Ce cri du cœur résonne d’autant plus fort que l’attente devient éprouvante.
Les jours, puis les mois ont passé, mais l’espoir ne s’est jamais éteint. La famille de Théo a intensifié ses efforts pour renverser la tendance et attirer l’attention sur cette affaire délicate.
En une année, ils ont multiplié les actions de sensibilisation. Des affiches ont été placardées à travers la ville, des communiqués diffusés et des articles mis en avant pour maintenir la mémoire de Théo vivante.
Les enquêteurs ont initialement déployé d’importants moyens : fouilles sous-marines et recherches dans les environs de la Loire pour tenter de retrouver Théo ou des indices.
Ce drame a suscité une vaste mobilisation, non seulement de ses proches mais aussi de toute une communauté désireuse de comprendre ce qui s’est passé. Chaque détail compte, dit-on. Chaque information, même la plus insignifiante, doit être partagée.
Des appels à témoins ont été lancés. Un numéro vert a été mis en place pour recueillir les témoignages. Malgré cela, les résultats sont restés vains. L’enquête pour enlèvement et séquestration n’a pas encore révélé d’indices suffisants.