Les révélations concernant le véhicule ont ajouté du poids à l’enquête, suscitant des interrogations sur les circonstances de la disparition de Lina.
SUICIDE DU PRINCIPAL SUSPECT
Une tournure tragique s’est opérée lorsque l’on a appris que Samuel Gonin, le principal suspect, avait mis fin à ses jours le 10 juillet à Besançon.
Cet homme de 43 ans n’a jamais été interrogé dans le cadre de cette enquête. Des écrits laissés par Gonin évoquent un profond désespoir, ce qui rend la situation encore plus complexe.
Ce contexte de douleur personnelle chez le suspect crée une atmosphère de mystère autour des événements menant à la disparition de Lina.
Gonin se serait brouillé avec son entourage et était en proie à des problèmes de toxicomanie. En outre, son ADN avait été retrouvé sur des cordes situées dans le coffre de sa voiture, ce qui suggérait que Lina aurait pu être ligotée à un moment donné.
Ces éléments troublants intensifient la nécessité d’explications claires sur les circonstances entourant sa mort. Les expertises médico-légales qui suivront devraient permettre d’éclaircir ces zones d’ombre.
LA DOULEUR DES FAMILLES
Après la découverte tragique du corps, la douleur éprouvée par la famille de Lina est indescriptible. Les avocats, représentatifs de la famille, ont exprimé la difficulté de la situation, insistant sur le besoin de respecter leur deuil face à un événement aussi tragique et dévastateur.