Le divorce qui a suivi a été particulièrement acrimonieux et onéreux, culminant avec la vente aux enchères de leur appartement parisien pour 2,5 millions d’euros et la saisie de leur mobilier.
Ses problèmes ne se sont pas limités à sa vie personnelle. Sulitzer a également été impliqué dans l’affaire des ventes d’armes à l’Angola, ce qui a gravement nui à sa réputation et à ses activités professionnelles.
Après une décennie de procédures judiciaires, il a été condamné à 15 mois de prison avec sursis et à une amende de 100 000 euros, un coup dur pour quelqu’un qui était déjà financièrement affaibli.
Malgré ces revers dévastateurs, Sulitzer tente de conserver une perspective optimiste, souvent en comparant sa situation à des individus bien moins fortunés pour relativiser son malheur.
Cette résilience témoigne d’une force de caractère, mais aussi de la dure réalité que même les fortunes apparemment les plus solides peuvent s’effondrer.
Les ennuis financiers de Sulitzer ont été exacerbés par son incapacité à s’adapter à un environnement économique en mutation rapide.
À une époque où le monde littéraire et financier se digitalisait, Sulitzer a peiné à renouveler ses stratégies et à maintenir la pertinence de ses conseils financiers.
Son incapacité à s’adapter aux nouvelles réalités du marché a précipité sa chute financière, prouvant que même les esprits les plus brillants peuvent être dépassés par des changements rapides et impitoyables.