La Seine aux JO de Paris : Les révélations inattendues d’une triathlète sur l’eau

La Seine

Ils devaient faire en sorte que cela se passe malgré tout, et maintenant il faut espérer qu’il n’y aura pas trop de cas de maladies parmi les athlètes, a-t-elle ajouté.

Jolien Vermeylen a pris des mesures préventives, telles que la consommation de probiotiques, pour se protéger, mais elle reste inquiète quant aux conséquences potentielles pour les autres participants.

Le Courant de la Seine : Une Autre Préoccupation

Un autre aspect critiqué par Vermeylen est le courant de la Seine. « Le courant ne devait pas dépasser 1,0 m/sec, mais je pense qu’il était autour de 0,9.

Nous avons eu l’impression de ne pas avancer lorsque nous sommes passés près d’un bateau », a-t-elle expliqué.

Cette remarque souligne les difficultés supplémentaires rencontrées par les triathlètes, qui ont dû composer avec des conditions de nage moins que idéales.

Des Questions Restent en Suspens

La première journée des triathlons olympiques à Paris 2024 a vu des performances impressionnantes, mais l’état de la Seine continue de soulever des questions.

Les commentaires de Jolien Vermeylen mettent en lumière les préoccupations persistantes sur la qualité de l’eau et les conditions des épreuves.

Alors que les organisateurs espèrent que les doutes exprimés ne se concrétiseront pas en problèmes majeurs de santé, les critiques de la triathlète soulignent la nécessité d’améliorer la gestion des conditions sanitaires pour les compétitions futures.

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