L’une des phrases rapportées par le quotidien évoque une fillette sur un cheval : « Si jamais il galope, elle jouit. (…) C’est bien ma fifille, continue. »
L’huissier confirme dans son procès-verbal qu’il s’agissait bien de l’enfant en question, car il n’y avait aucune autre personne de s.e.x.e féminin sur la piste au moment des faits.
Cette confirmation repose sur des plans filmés simultanément par trois caméras, balayant ainsi toute accusation de montage frauduleux.
Gérard Depardieu n’a pas hésité à poursuivre avec des commentaires encore plus dérangeants : “Non, mais s’il la fait galoper, elle mouille, elle jouit… ce sont des grosses salopes ça.”
Une expertise judiciaire ordonnée
Face à ces déclarations, il est évident que la situation de Gérard Depardieu se complique encore davantage.
Dans son rapport, l’huissier a indiqué : “Au cours de cette séquence, je constate qu’à l’exception de la jeune fille, seuls des cavaliers d’apparence masculine apparaissent dans le champ des caméras.”
Cette observation, couplée avec une dernière remarque obscène de l’acteur et une « onomatopée gutturale », démontre que l’enfant était effectivement réceptive aux propos de l’acteur.
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