Propriétaire en colère : 20 000 euros de loyer impayés et un logement jugé insalubre

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Hélène évoque un témoin clé : un chauffagiste qui, en 2019, a refusé d’intervenir dans la maison car les locataires avaient effectué des modifications illégales sur les installations.

De plus, elle affirme que le voisinage s’est plaint des comportements des locataires, accusés de vols d’eau et d’électricité via des branchements illégaux.

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Ce contexte ne fait qu’ajouter à la complexité de la situation.

Le Point De Vue Des Autorités

Le maire de la commune, Eric Warlouzet, reconnaît également que la situation est compliquée. Il a déclaré que la propriétaire avait sous-estimé les difficultés de louer à une famille à faibles revenus, surtout dans un contexte économique tendu.

Les deux enfants des locataires ont été placés suite à des signalements, ce qui rend encore plus délicate la gestion de cette affaire.

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Les plaintes des voisins et les préoccupations du maire montrent que le problème dépasse le simple cadre locatif. Hélène Hariviller se retrouve donc dans une impasse, incapable de faire expulser des locataires qui continuent à vivre sans payer leur loyer.

Des Enjeux Juridiques Complexes

La législation française est claire : lorsqu’un arrêté d’insalubrité est prononcé, le loyer n’est plus dû jusqu’à la fin des travaux.

Cette disposition renforce la position des locataires, qui peuvent s’appuyer sur la loi pour refuser de quitter les lieux.


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