Cette action a rapidement suscité un engouement sur les réseaux sociaux, avec de nombreux internautes soutenant l’agriculteur.
Des commentaires tels que : « Expliquez-moi comment des gens qui ne bossent pas arrivent à se payer des Mercedes et des BMW de classe E ? » témoignent de la colère face à cette situation.
Bien que cet exploitant ait agi avec humour, il a également pris des risques considérables en s’attaquant à un problème aussi délicat.
Un Phénomène Qui S’Amplifie
L’occupation de terres agricoles par des gitans est un phénomène en pleine expansion. Avec peu de recours juridiques disponibles, les agriculteurs se retrouvent souvent démunis face à cette situation.
Non seulement ils perdent leur capacité à travailler la terre, mais cela entraîne également une certaine frustration chez les riverains.
Ces derniers, solidaires des agriculteurs, voient d’un mauvais œil l’accumulation de caravanes. Ils comprennent que les exploitants agricoles sont essentiels pour leur approvisionnement en produits frais, et ils ne souhaitent pas voir leurs amis et voisins subir des pertes.
Les plaintes concernant ces occupations illégales sont de plus en plus nombreuses, reflétant une tendance inquiétante.
Des Exemples Inquiétants
Les agriculteurs rapportent de plus en plus d’incidents similaires. L’absence de mesures efficaces contre ces occupations donne libre cours à des situations où des groupes s’installent sans aucune autorisation.
Les exemples de ces conflits sont légion et ne semblent pas s’amenuiser avec le temps.
Il y a quelques années, un agriculteur à Tourville-la-Rivière a vu des gitans s’installer sur ses 5,5 hectares de terres cultivables, l’empêchant de travailler.