En parallèle, une enquête a été ouverte par le commissariat de Draguignan. Le propriétaire des Rottweilers est maintenant sous le coup d’accusations de « blessures involontaires ».
Si l’incapacité totale de travail (ITT) de François s’élève à plus de trois mois, il peut risquer jusqu’à trois ans de prison et 15.000 euros d’amende. Des mesures doivent être prises pour éviter de telles tragédies à l’avenir.
Pour l’instant, les deux chiens sont retournés au domicile de leur propriétaire, mais une procédure pour « chien mordeur » est en cours dans le tribunal judiciaire local.
La suite de ce drame repose sur une évaluation comportementale des animaux. Le commissaire Cédric Fèvre a signalé que si ces chiens sont jugés dangereux, ils risquent l’euthanasie selon la décision du parquet.
François Giannesini rappelle à tous l’importance de la vigilance. « Lorsque des chiens de cette taille circulent sans laisse, cela devient alarmant », insiste-t-il. Les citoyens doivent également faire preuve de bon sens et signaler toute situation à risque.
Il est crucial que la communauté agisse. Des solutions concrètes sont nécessaires pour la sécurité des citoyens face à de tels dangers.
Il existe déjà des initiatives sur la meilleure gestion de la population canine dans les zones urbaines. Entre autres, des campagnes de sensibilisation au sujet des propriétaires responsables sont essentielles.
Les administrations publiques doivent travailler à la mise en place de structures légales plus strictes autour de la possession d’animaux jugés potentiellement dangereux. Cela inclut des mesures de formation pour les maîtres et une législation appropriée.
Il est également nécessaire de renforcer les sanctions contre les propriétaires de chiens qui ne respectent pas les lois sur la réglementation de la saisie et du contrôle d’animaux dangereux.
Cette agression rappelle qu’une interaction animale non surveillée peut mener à des issues tragiques. En tant que société, il nous incombe de prévenir de tels actes.