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La cryogénisation fascine depuis des décennies, des promesses d’immortalité à la science-fiction. L’un des cas les plus marquants est celui d’un milliardaire qui a été cryogénisé dans les années 1960 et réanimé en 2017. Que devient-il aujourd’hui ? Cet article explore son parcours et l’évolution fascinante de la cryogénisation.
James Hiram Bedford, en 1967, a été le premier homme à choisir cette option pour échapper à la mort. Victime d’un cancer en phase terminale, il rêvait d’une future médecine capable de le ressusciter. En 2017, la science a-t-elle enfin réalisé ce rêve ?
Le parcours de James Hiram Bedford
Actuellement, on parle partout de ce billonnaire dont la cryogénisation intrigue. Au-delà de son choix, des questions se posent. Quel impact a eu cette démarche sur sa vie et son état de santé ? Son corps a été conservé dans une cuve d’azote liquide à -196°C pendant près de 50 ans.
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À sa mort, son corps a été soumis à un traitement rapide. Des scientifiques ont remplacé son sang par un cryoprotecteur, le diméthylsulfoxyde, afin de préserver ses cellules. Cette opération a été menée par l’organisation Alcor.
Les avancées scientifiques de ces dernières décennies
Depuis la cryogénisation de Bedford, de nombreuses avancées en cryobiologie ont vu le jour. Les techniques de préservation et d’analyse des tissus ont beaucoup évolué. Cependant, la grande question demeure : les technologies de réanimation ont-elles suffisamment progressé ?
Les scientifiques affirment que le principal obstacle reste la formation de glace dans les cellules. Cette dynamique peut causer des dommages irréversibles. La promesse d’une réanimation ne repose donc pas uniquement sur l’azote liquide, mais sur des découvertes complexes.
